NETTALI.COM - L’ONG Jamra et d’autres organisations portent plainte, consécutivement à l’acte insidieux posé par des homosexuels à la Grande Mosquée de Dakar. Elles demandent également la réouverture de ce lieu de culte, naguère fermé dans le cadre de la lutte contre la progression du coronavirus. 

Suite au scandale homosexuel à la Grande Mosquée de Dakar, les bureaux exécutifs de l’ONG islamique JAMRA, de l’Association pour servir le Soufisme (AIS) et de l’ONG Daral Quran wal Ikhsan ont décidé de se constituer partie-civile, en saisissant d’une plainte le Procureur de la République.

« Cette énième provocation, à l’actif d’une minorité insignifiante de déviants, s’inscrit en droite-ligne de cette culture de l’impunité, dont les récépissés de reconnaissance officielle, scandaleusement détenus par au moins 16 associations d’homosexuels et de lesbiennes, jouent incontestablement un effet catalyseur », déplorent Mame Mactar Guèye et Cie.

Toutefois, ces organisations se disent satisfaites de la diligence par laquelle les éléments de la Police de Rebeuss, ont aussitôt débarqué sur ce haut lieu de culte, après avoir été alertés par le préposé au gardiennage de la Grande Mosquée. Cela, aux fins d’appréhender ces déviants, en flagrant délit de sodomie.

La réouverture de ce lieu de culte, fermé depuis le 20 mars dernier, pour motif de Covid-19, est réclamée par les plaignants. « Les Mosquées sont les demeures d’Allah, nous rappelle le Saint Coran. La nature ayant horreur du vide, il n’est dès lors pas surprenant, qu’après huit mois de sevrage de culte divin, que Satan et ses suppôts y aient pris leurs quartiers », ajoute le communiqué.